Des ambulations de supermarchés, de couloirs de métro ou de bureaux, de rues commerçantes ; des errances sur Internet (qu’est-ce que c’est ?) ; des calculs de profits (est-ce si profitable ?) ; des plaisirs tristes à contempler que ce prochain qui chute n’est pas moi, ni toi, ni lui ou elle, mais un autre, qui selon le récit officiel, s’est donné tous les moyens de sa chute (ne les lui avons pas servis