Cette envie floue te taraude. Tu voudrais bien y être mais ne peut t’y rendre. Cette évidence coincée dans ton cœur n’accède pas à ton cerveau, c’est bien dommage.
Attentif à l’harmonie prétendue de ta page Linkedin, j’ai constaté les dégâts. AXA ou d’autres ne paieront pas.
Quelques-uns vous ont demandé quelque chose.
Et vous avez répondu.
À côté.
Des ambulations de supermarchés, de couloirs de métro ou de bureaux, de rues commerçantes ; des errances sur Internet (qu’est-ce que c’est ?) ; des calculs de profits (est-ce si profitable ?) ; des plaisirs tristes à contempler que ce prochain qui chute n’est pas moi, ni toi, ni lui ou elle, mais un autre, qui selon le récit officiel, s’est donné tous les moyens de sa chute ;
Reprends ton temps. À ton patron. À Facebook. À ta télé. À Netflix. À Pôle Emploi
Hier soir, en m’engouffrant sur la ligne 2 à Pigalle au bras de ma tendre et chère, quelqu’un tentait de voler son téléphone à une jeune femme sortie s’amuser pour Halloween, pour Halloween ou pas. J’étais dans mes pensées et n’ai strictement rien remarqué de la scène, si ce n’est que ma compagne semblait perturbée parce qu’elle en voyait…
Je termine ces jours-ci une relation dont les termes de départ avaient au fil du temps fini par me miner.
Perdre la parole pour ne pas perdre un pari avec soi-même.
Tu n’as pas osé le dire jusqu’au bout parce que, quelque part, tu savais bien que ça ne tenait pas. Tu n’as pas fait non plus ce que tu n’as que mi-dit (à ta porte il était plutôt 14h).
Je plains celles et ceux qui, au cours de leur vie, n’ont pu se poser de questions que d’ordre pratique.